La loi sur l'avenir de l'agriculture, adoptée par l'Assemblée Nationale le 14 janvier dernier, adoptent quelques mesures destinées à protéger le foncier agricole.
Malheureusement le pouvoir de préemption donné aux SAFER, s'il est étendu par cette loi aux terres à vocation agricole dont l'usage a été interrompu, ainsi qu'à toutes les opérations foncières des sociétés agricoles, ne peut être utilisé que si 100 % des parts sociales sont vendues, laissant un moyen de contournement (et donc de spéculation) en n'en vendant qu'une partie.